Portrait de la Côte Mâconnaise

publié le 24 octobre 2017 (modifié le 1er avril 2019)

La Côte Mâconnaise forme un long relief étendu du nord au sud et longitudinal à la Saône. Une série de plissements parallèles compose un paysage interieur de vallons, combes et crêtes, de sols souples et de roches résistantes, ou la vigne a trouvé son terrain d'élection. Azé en grand format (nouvelle fenêtre)
La Côte Mâconnaise forme un long relief étendu du nord au sud et longitudinal à la Saône. Une série de plissements parallèles compose un paysage interieur de vallons, combes et crêtes, de sols souples et de roches résistantes, ou la vigne a trouvé son terrain d’élection. Azé


 

  LIMITES

Côte Mâconnaise carte unité en grand format (nouvelle fenêtre)
Côte Mâconnaise carte unité

Au nord

Les reliefs de la Côte Mâconnaise deviennent moins larges et s’arrêtent franchement avant le basculement dans la vallée de la Grosne et la terrasse de la vallée de la Saône.

A l’est

L’étroite terrasse alluviale de la Saône mâconnaise longe toute la façade est de la Côte. Le coteau forme une ligne de force qui contraste avec la platitude du fond de vallée.

Au sud

Un relief plus régulier et doux forme une large transition pour devenir vers le sud un coteau plus régulier qui annonce le Beaujolais.

A l’ouest

Les reliefs les plus hauts de la Côte Mâconnaise, forment une limite bien perceptible avant le net basculement dans les vallées de la Grosne et du Valouzin.







  PORTRAIT SENSIBLE

Côte Mâconnaise bloc-diagramme unité en grand format (nouvelle fenêtre)
Côte Mâconnaise bloc-diagramme unité




Une côte aux limites variées

La Côte Mâconnaise forme une barrière élevée entre la vallée de la Saône et les vallées du Clunisois. Crêches-sur-Saône en grand format (nouvelle fenêtre)
La Côte Mâconnaise forme une barrière élevée entre la vallée de la Saône et les vallées du Clunisois. Crêches-sur-Saône


Formant un long relief étendu du nord au sud et longitudinal à la Saône, la Côte Mâconnaise se définit tout d’abord par la perception de sa position dans le paysage depuis l’extérieur et la nature de ses limites. Au nord et au nord-ouest, la platitude des terrasses alluviales de la Grosne et de la Saône contraste avec les deux avancées de coteaux qui se répondent, très proches de la Saône. Le long de la Saône, la façade est de la Côte est plus complexe, alternant de larges replats qui montent graduellement, un coteau linéaire de hauteurs et de pentes variables, des ouvertures avec les vallées affluentes de la Saône qui coupent perpendiculairement la Côte. A cela s’ajoutent des boisements ou des vallons qui créent des petites transitions. Au sud, la façade devient plus réduite, douce et régulière et les reliefs en arrière-plan plus à l’ouest (hors département) comportent des vallées en courbe avec des reliefs boisés plus hauts. A l’ouest par contre, des lignes de crêtes rectilignes marquent un net basculement dans les vallées du Clunisois (Grosne, Valouzin).

Un monde intérieur contrasté, structuré et orienté

Les plissements parallèles du relief structurent le paysage de la côte. Cruzille en grand format (nouvelle fenêtre)
Les plissements parallèles du relief structurent le paysage de la côte. Cruzille


C’est une fois à l’intérieur de la Côte que l’on réalise vraiment sa nature. Les vues sont plus intimes mais conservent une bonne ampleur. L’organisation longitudinale du relief en plis parallèles apparaît clairement depuis les fonds où circulent en général les routes. Les longs couloirs des vallées donnent des effets étonnants de perspectives, continues et profondes. Certaines vallées sèches semblent perchées et isolées, sans villages. Les crêtes boisés plus sombres donnent un cadre fort et apportent un contraste. D’autres vallées offrent l’intimité de gorges boisées presque mystérieuses. La vallée de la Petite Grosne, véritable couloir de liaison entre le Clunisois et la vallée de la Saône, forme une large entaille dans la côte, ouvrant pour une fois une longue perspective vers l’est.

Un paysage en belvédère qui se découvre successivement

De nombreux points de vue permettent de découvrir les plis parallèles du relief. Vue vers la vallée du Grison depuis le mont St-Romain. Blanot en grand format (nouvelle fenêtre)
De nombreux points de vue permettent de découvrir les plis parallèles du relief. Vue vers la vallée du Grison depuis le mont St-Romain. Blanot


De nombreuses situations en belvédère magnifient les lieux et révèlent les contrastes et l’amplitude de la Côte. Certains donnent à voir l’entourage de la Côte, qu’ils soient en bordure ou plus à l’intérieur, compte tenu de l’ampleur des reliefs culminant vers 700 mètres. C’est aussi l’occasion d’admirer la succession des crêtes boisées qui forme comme une houle aux vagues rapprochées et confirme les grandes directions ressenties depuis les fonds dans chaque vallée. Au fil des déplacements, l’ascension de plusieurs cols, crée des effets de surprise par les soudains basculements, et participe à l’ambiance parfois montagnarde des lieux, notamment au sud-ouest, où l’amplitude et les pentes sont plus accentuées et boisées, parfois de conifères plus sombres. Quelques routes ou chemins de crête révèlent la richesse de ces vues dominant la Côte Mâconnaise. Certains belvédères sont bien identifiés : mont Saint-Romain, roches de Solutré et de Vergisson…

 

Un vignoble reconnu, étendu et bien lisible

La vigne opporte un graphisme particulier au paysage et donne sa cohérence à la Côte Mâconnaise. Cruzille en grand format (nouvelle fenêtre)
La vigne opporte un graphisme particulier au paysage et donne sa cohérence à la Côte Mâconnaise. Cruzille


Par sa présence affirmée du nord au sud, la vigne donne une cohérence à la Côte Mâconnaise. La présence des étendues de vignes participe grandement à la lecture de l’étagement du paysage. Les parcelles rectangulaires, comme de grands draps, occupent harmonieusement les pentes inférieures des coteaux et des monts. Dans les vallées, il arrive que les vignes occupent les deux versants, en dessous des crêtes boisées, apportant ainsi une unité remarquable par deux occupations du sol symétriques. A d’autres endroits le paysage est plus diversifié, formant une mosaïque de cultures ou de prairies intercalées avec la vigne, révélant la complexité géologique et des sols de la Côte. La vigne apporte par ses rangs organisés en surfaces homogènes, un graphisme particulier au paysage. Enfin des tonalités dorées et pourpres, relatives aux différents cépages apparaissent à l’automne, illuminant ainsi les versants.

Des villages qui se donnent à voir

Dans le paysage ouvert des côtes, les villages se découvrent souvent d'en haut, leur silhouette se détachant dans un écrin de vigne. Saint-Gengoux-de-Scissé en grand format (nouvelle fenêtre)
Dans le paysage ouvert des côtes, les villages se découvrent souvent d’en haut, leur silhouette se détachant dans un écrin de vigne. Saint-Gengoux-de-Scissé


Bien qu’ils ne soient pas situés sur les hauts, les villages sont souvent bien visibles depuis des surplombs. C’est l’occasion de prendre conscience de l’écrin du vignoble qui les entoure et compose avec eux pour former des ensembles indissociables. La pierre est souvent à l’honneur dans les constructions, leur conférant un charme indéniable. L’intimité d’un tissu urbain dense pour certains villages contraste avec l’ouverture du paysage du vignoble. D’autres villages s’étalent en essaimant dans la vigne ou les champs. On observe, sous l’influence des grandes routes et de la proximité du Mâcon, des développements pavillonnaires plus récents. Les églises et les cimetières, parfois tous deux en dehors du village, signalent une présence discrète des villages à mi-pente ou dans les fonds. Certaines vallées sont peu habitées, comme dans les secteurs les plus montagneux. D’autres vallées comportent un chapelet de villages qui se succèdent et se répondent les uns aux autres.

Côte Mâconnaise carte unité légendée en grand format (nouvelle fenêtre)
Côte Mâconnaise carte unité légendée
 

  SOUS-UNITE : Le Sud-Mâconnais

Un paysage très habité et graphique

Les pentes du Sud-Mâconnais ouvrent des perspectives sur les villages et la vallée de la Saône. Fuissé  en grand format (nouvelle fenêtre)
Les pentes du Sud-Mâconnais ouvrent des perspectives sur les villages et la vallée de la Saône. Fuissé


A partir de la vallée de la Petite Grosne, la tonalité de la Côte Mâconnaise change. Le coteau orienté vers l’est devient plus linéaire, vallonné de petits cours d’eau parallèles en direction de la Saône. Le vignoble s’y est installé en façade sur la vallée de la Saône, de façon quasi continue, formant un ensemble étendu. Les parcelles de vignes sont de plus petites tailles, imprimant un graphisme de petits quadrillages irréguliers sur les pentes. De hauts reliefs boisés aux sommets arrondis forment l’arrière-plan et limitent cette sous unité. Depuis les pentes successives, se dégagent de nombreux belvédère sur la vallée de la Saône. La géologie apparaît, bien sûr avec les roches emblématiques mais aussi avec les pierres des murs, dans la vigne ou dans les villages. L’urbanisation s’est particulièrement étendue ici. Les nouvelles maisons montent vers les crêtes, déconnectées des villages. Le couloir de la vallée de la Petite Grosne, avec le passage d’axes de circulation importants illustre bien ce phénomène d’urbanisation péri-urbaine.

 

Des roches emblématiques

Les roches aux silhouettes remarquables sont à la fois repères et belvédères dans le paysage. Solutré-Pouilly en grand format (nouvelle fenêtre)
Les roches aux silhouettes remarquables sont à la fois repères et belvédères dans le paysage. Solutré-Pouilly


Ces monuments naturels majestueux et étonnants se dressent au sein du vignoble. Ils révèlent soudainement la géologie avec leurs falaises en partie hautes. Leur sommet comporte une falaise de pierre qui se prolonge parallèlement à la crête. Celle-ci offre une longue pente régulière qui donne aux roches cette stature si particulière qui contraste avec les reliefs plus arrondis alentour. A la fois puissants et modestes, ces évènements du paysage, suscitant de riches interprétations, ne laissent pas indifférents. La roche de Vergisson répond à celle de Solutré, comme deux sœurs. Leurs proues constituent deux points d’orgue qui se dressent offrant de magnifiques panoramas lointains, mis en scène par le vignoble à leurs pieds et leurs couronnes de pelouses calcaires, de buis et de boisements.



  LES ELEMENTS DU PAYSAGE

Les éléments liés à la roche et au relief

La roche, l'affleurement rocheux  en grand format (nouvelle fenêtre)
La roche, l’affleurement rocheux
Il apparaît avec force sur les roches emblématiques. Il est aussi visible par endroit sur les hauts des crêtes. Cela crée à chaque fois un point d’attraction et rappelle la géologie, fondatrice du paysage. Solutré-Pouilly
La carrière  en grand format (nouvelle fenêtre)
La carrière
En activité ou abandonnée, la carrière révèle le substrat rocheux de la Côte Mâconnaise. Elle peut être peu visible nichée à l’intérieur du relief, ou bien s’afficher de loin sur un coteau. Tournus
La combe, la vallée sèche  en grand format (nouvelle fenêtre)
La combe, la vallée sèche
Il s’agit d’une longue déclivité en hauteur, comme une vallée suspendue mais sans cours d’eau. Le vis à vis des versants, surmontés de boisements, peut y créer une perspective parfois profonde tout en gardant une échelle plutôt intime. Cruzille
 


 

Les éléments liés à l’eau

La rivière  en grand format (nouvelle fenêtre)
La rivière
Dans les fonds, accompagné de sa ripisylve, elle reste discrète mais apporte une note fraiche et un contraste dans ces paysages filtrants viticoles. Verzé
Le lavoir  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le lavoir
Un vestige du passé, témoignage d’autres modes de vie… Dans ces paysages élevés l’eau se faisant rare, le lavoir redonne le contact avec cet élément attractif. C’est l’occasion de faire une halte pour se rafraichir l’été. Plottes
 


Les éléments liés à l’arbre

Le boisement, la forêt  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le boisement, la forêt
Prenant place majoritairement sur les crêtes et les versants mal exposés ou trop pentus, la forêt participe à la lecture de l’étagement du paysage et à souligner les perspectives des vallées qu’elle encadre. Les lisières forment des ados à la vigne qui apportent des contrastes forts. Mancey
Le bois de conifère  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le bois de conifère
Au milieu des forêts feuillues ou simplement adossé à un boisement, le bois de conifères, tranche par son feuillage plus sombre, persistant toute l’année, et ses lignes de plantation régulières. Il induit aussi un mode d’exploitation en coupe rase de parcelles entières qui marque le paysage. Serrières
 
La lisière et la haie de buis  en grand format (nouvelle fenêtre)
La lisière et la haie de buis
Le buis forme de nombreuses lisières le long des routes et des chemins. Implanté sur les sols calcaires où la roche affleure, il donne une finition étonnante aux bords des voies lorsqu’il est taillé, évoquant par endroit les topiaires d’un parc. Il est menacé par les attaques de la pyrale. Solutré-Pouilly
L'arbre isolé  en grand format (nouvelle fenêtre)
L’arbre isolé
Il apporte une diversité au vignoble, aux prairies et aux champs. Souvent associé à un autre élément, chemin, cabane, calvaire, carrefour, ou bien dans la trame bocagère, il constitue une ponctuation et un point de repère dans le paysage. Cruzille
 


 

Les éléments liés au champ

La petite parcelle de vigne  en grand format (nouvelle fenêtre)
La petite parcelle de vigne
On la retrouve souvent imbriquée avec les boisements ou les prairies sèches, mais un morceau de versant peut aussi être composé de petites parcelles qui donnent un graphisme particulier à cette côte, comme par exemple près des roches dans le sud de la Côte. Saint-Gengoux-de-Scissé
La vaste parcelle de vigne  en grand format (nouvelle fenêtre)
La vaste parcelle de vigne
Plusieurs secteurs de la Côte présentent un vignoble continu de grandes parcelles rectangulaires, occupant par endroits tout l’espace ouvert entre les crêtes boisées, souvent dans les vallées sèches ou les combes. Cruzille
 
Le mur de pierre  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le mur de pierre
Les murs de soutènement en pierre accompagnent les bords de routes du vignoble, dans les secteurs ou la pente est plus affirmée. Des escaliers et rampes mettent en exergue le travail de la pierre. Fuissé
La cabane de vigne, la cadole  en grand format (nouvelle fenêtre)
La cabane de vigne, la cadole
Témoignage du passé, elle servait de stockage des outils ou d’abri. Certaines cabanes persistent, ponctuant ainsi la vigne avec charme. On les retrouve parfois au milieu des prés, témoignant d’un recul du vignoble. Des formes rondes au toit de lauzes apportent une autre diversité de ces petites constructions. Tournus
 
La pelouse sèche  en grand format (nouvelle fenêtre)
La pelouse sèche
La pelouse et la prairie sèche prennent souvent place entre les vignes et les boisements sommitaux. Elle offre des espaces naturels de transition ou de diversité dans le paysage. Ozenay
La friche  en grand format (nouvelle fenêtre)
La friche
Il s’agit de parcelles sur les hauts qui se referment sous la végétation au fil du temps. Qu’il s’agisse d’anciennes prairies sèches ou d’anciennes vignes, la végétation arbustive puis les boisements gomment cette diversité et ces ouvertures. Pierreclos
 
 
La prairie bocagère  en grand format (nouvelle fenêtre)
La prairie bocagère
Elle occupe des secteurs en bordure des vignes dans les fonds de vallées ainsi que les terrains plus en hauteur sur les versants peu propices à la vigne. Serrières
Le champ  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le champ
Le champ participe au patchwork des productions agricoles de la Côte. Il s’intercale avec les vignes ou les prairies sur les pentes des versants. Son exploitation complète la palette des changements saisonniers dans le paysage. Chardonnay
 


Les éléments liés à la route

La route en balcon  en grand format (nouvelle fenêtre)
La route en balcon
Souvent à mi-pente, elle s’inclut dans le vignoble et y donne accès. Elle génère des vues dominantes sans cesse renouvelées au fil de l’itinéraire. Saint-Gengoux-de-Scissé
Le col  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le col
C’est toujours un lieu particulier, un point de passage entre deux vallées, avec un effet de surprise au niveau du basculement. Il offre aussi des vues en belvédère. Pierreclos
 
La route de fond de vallée  en grand format (nouvelle fenêtre)
La route de fond de vallée
Elle emprunte le fond des vallées les plus importantes, toujours en léger surplomb au-dessus des fonds humides. Les plus petites offrent un contact plus intime avec le début de la vigne et les premiers reliefs de la cote. Bussières
Le chemin dans les vignes  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le chemin dans les vignes
Ces chemins viticoles constituent des vecteurs privilégiés, à l’écart des axes fréquentés, pour parcourir et découvrir le vignoble et ses villages, souvent à une autre vitesse. Chardonnay
 
 
Le belvédère  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le belvédère
Omniprésent dans le relief de la Côte, c’est un des modes de découverte principal de ce paysage qui en donne les clés de lecture. Certains sont mis en valeur par un banc, une table d’orientation ou quelques arbres. Belvédère de St-Martin-de-Laives. Sennecey-le-Grand
Le calvaire  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le calvaire
C’est un petit patrimoine qui jalonne les routes et les chemins. Parfois accompagné d’un ou plusieurs arbres, il apporte une diversité au sein du paysage. Bissy-la-Mâconnaise
 


Les éléments liés au bâti

Le village de versant  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le village de versant
C’est la position majoritaire des villages du vignoble, nichés dans un vallon perché ou s’étalant sur une pente plus ample. Il établit une composition avec les parcelles de vignes. On peut souvent le voir dans son ensemble depuis un point haut. Solutré
Le village de vallée  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le village de vallée
Situé au pied du coteau ou en fond de vallée, sa silhouette initiale s’est souvent fortement transformée en marge des vignes par un développement pavillonnaire ou d’activités le long de la route principale. Saint-Gengoux-de-Scissé
 
La place  en grand format (nouvelle fenêtre)
La place
Dans les villages denses viticoles, elle reste peu étendue. Elle est plus affirmée dans les bourgs où elle constitue un élément de vie important, à proximité de l’église par exemple. Lugny
La maison vigneronne  en grand format (nouvelle fenêtre)
La maison vigneronne
Construite en pierre avec un escalier apparent et une galerie abritée menant au logement, au-dessus d’une cave en rez-de-chaussée, la maison vigneronne constitue un patrimoine vernaculaire caractéristique des villages viticoles de la Côte. Solutré-Pouilly
 
 
La demeure et le château  en grand format (nouvelle fenêtre)
La demeure et le château
Souvent lié aux domaines viticoles, ce patrimoine bâti constitue autant de points remarquables et attractifs à travers le vignoble. On les découvre parfois comme une surprise au dernier moment au détour d’une route ou s’affichant de plus loin. D’autres s’affichent, visibles de loin. Chasselas
Le cimetière  en grand format (nouvelle fenêtre)
Le cimetière
Il se tient par endroit à l’extérieur du village, parfois entouré de vignes, formant un petit enclos au mur de pierre. Chasselas